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quarta-feira, 15 de dezembro de 2010

Romantisme - Charles Baudelaire

Charles-Pierre Baudelaire


Né à Paris le 09/04/1821
Meurt à Paris le 31/08/1867

Grand poète du XIXème siècle, Charles Baudelaire est connu pour sa vie de bohème. Auteur torturé, il publia de son vivant une seule œuvre, les Fleurs du Mal. Ce recueil de poèmes fut condamné et censuré à sa sortie, car trop choquant pour la morale bourgeoise, avant de passer à la postérité. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. Né à Paris le 9 avril 1821, Charles Baudelaire n’a que six ans lorsque son père meurt. Sa mère se remarie un an plus tard avec le général Aupick.


 Commentaire de la production littéraire

Poète français. Célèbre pour ses fleurs du mal, a influencé tout le monde la poésie symboliste et jeté les bases la poésie moderne.
Baudelaire a marqué de sa présence les dernières décennies du XIXe siècle, influencer la tendance de la poésie symboliste internationale. De leur façon d'être né en France poètes "fichu." Poète français. Célèbre pour ses fleurs du mal, a influencé tout le monde la poésie symboliste et jeté les bases de la poésie moderne.
Baudelaire a marqué de sa présence les dernières décennies du XIXe siècle, influencer la tendance de la poésie symboliste internationale. De leur façon d'être originaire de poètes France "maudit".
 

L’ennemi
  
Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage,
Traversé çà et par de brilhants soleils;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

Voilà que j’ai touché l’automne des idées,
Et qu’il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres innondées,
l’eau creuse des trous grands comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur viguer?

-Ô douleur! Ô douleur! Le Temps mange la vie,
Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie!

Analyse du poème principal

Baudelaire, à travers la Théorie de la Correspondance, propose un processus cosmique de rapprochement entre les réalités physiques et métaphysiques qui s'exprime à travers la synesthésie (métaphores impliquant le transfert ou le contre-la perception d'un sens à l'autre, c'est à dire la fusion, en un acte la perception de deux ou plusieurs significations - par exemple la musique douce), la théorie que l'imagination est la faculté essentielle de l'artiste, car il vous permet de recréer la réalité.. Sa symbolique héritée: l'ivresse des sens, l'intimité dans la poésie, la proposition de "hits".

Apresentado e produzido por:
Karen Abreu Moraes
Ana Nely Barbosa Rodrigues

Romantisme - Gérard de Nerval

Gérard de Nerval (1808-1855)

          Biographie


  Né à Paris le 22 mai 1808, son vrai nom Gérard Labrunie.
  1810 : Sa mère décède.
  1828: Le poète, qui considérait l'Allemagne comme «notre mère à tous» fit paraître une traduction du Faust de Goethe.
  1829: Gérard de Nerval accepte d'être stagiaire chez un notaire, pour faire plaisir à son père.
  En 1836: Il rencontra l'actrice Jenny Colon.
  1841: Rentré en France, il eut une première crise d'hallucinations et de délire.
  1843: Il entreprit une visite de l'Orient (Égypte, Liban, Rhodes, Syrie, Turquie) qui inspira la rédaction du Voyage en Orient (1848-1851).
  1852-1854: En proie à des crises de folie de plus en plus rapprochées, il dut être interné à plusieurs reprises .
  1855: Il se pendit.

FANTAISIE

Il est un air, pour qui je donnerais
Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber,
Un air très vieux, languissant et funèbre,
Qui, pour moi seul, a des charmes secrets.

Or, chaque fois que je viens à l’entendre,
De deux cent ans mon âme rajeunit :
C’est sous Louis treize… Et je crois voir s’étendre
Un coteau vert que le couchant jaunit,

Puis un château de brique à coins de pierre,
Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs,
Ceint de grands parcs, avec une rivière
Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs.

Puis une dame, à sa haute fenêtre,
Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens…
Que dans une autre existence peut-être,
J’ai déjà vue ! - et dont je me souviens !


     Analyse du Poème:
Le poème "Fantaisie", est un sonnet est un hymne de la petite collection, fabriquée vers 1835. Ce double sens du mot "fantaisie" fournit une clé de lecture du texte, nous notons d'abord que le poème est divisé en deux phases, la première consistant en le premier bloc est consacré à la célébration d'un air cher musique pour le poète, le second temps, y compris les trois blocs, d'essayer de décrire les souvenirs réveillés par cet air. Cette transition d'une direction à une autre est en mode de glissement, ou plus précisément de la synesthésie, et non sur le mode liste, et cela signifie que nous devons mettre en évidence les changements par lesquels la musique passe de l'air dans la pensée poétique, et souvenez-vous, enfin, pour mémoire réelle - depuis la chute du poème célèbre par une exclamation, la réalité de cette mémoire, ce qui n'est pas une réalité mais une réalité de l'imagination: le poème entier tourne autour de ce paradoxe apparent, tout en articulant, mode rêverie, la comédie musicale et visuelle.

Apresentado pela acadêmica:
Lyzianne de Araújo Silva

Symbolisme - Paul Verlaine

Paul Marie Verlaine




C'est un poète français, né à mertz le 30 mars 1844 et meurt à Paris le 8 janvier 1896.

Est avant tout le poète des clairs-obscurs. L’emploi de rythmes impairs, d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. C’est lui qui a lancé la notion de « poètes maudits ».


La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie : son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l’armée. Sa mère vécut à Fampoux et gardera longtemps sur la cheminée familiale les bocaux avec les fœtus de ses fausses-couches.

Œuvre de Paul Verlaine
Fêtes galantes - 1869

Scaramouche et Pulcinella
Qu'un mauvais dessein rassein rassembla
Gesticulent, noir sur la lune.

cependant l'excellent docteur
bolonais cueille avec lenteur
Des simples parmi l'herbe brune.

lors sa fille, piquant minois,
sous la charmille, en tapinois,
se glisse demi-nue, en quête

De son beau pirate espagnol,
Dont un langoureux rossignol
Clame la détresse à tue-tête.



Ces poèmes ont été composés, les uns en prison, d'autres après la captivité ; mais il règne dans tout le recueil une certaine unité de ton et d'atmosphère. Le poète fait un retour douloureux sur son passé (Gaspard Hauser chante) , ( Le ciel est par - dessus le toit) ou écoute résonner à ses oreilles la voix de sa femme comme un enseignement évangélique (Écoutez la chanson bien douce ... ). Ardemment, humblement, il cherche la sagesse, songe à la foi vivante des siècles passés et à l'enthousiasme fécond des bâtisseurs de cathédrales. Il chasse les voix impures de l'orgueil, de la haine, de la chair, pour obéir à " la voix terrible de l'amour ". Il s'offre à Dieu, à la Vierge Marie ; et il reproduit en une suite d'admirables sonnets le dialogue de l'Homme avec son Dieu.

Apresentado pela acadêmica:
Françoase Brito Farias

Symbolisme - Arthur Rimbaud

Jean Nicolas Arthur Rimbaud

 

Arthur Rimbaud
C'est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville, meurt le 10 novembre 1891 à Marseille.


Écrit ses premiers poèmes à quinze ans et demi. Ses derniers à 20 ans. Lui, pour qui le poète doit être « voyant » et qui proclame qu'il faut « être absolument moderne », renonce subitement à l’écriture malgré la reconnaissance de ses pairs.

                                Ma bohème


Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !

Apresentado pela acadêmica:
Françoase Brito Farias


Romantisme - Alfred de Musset

Alfred Louis Charles de Musset
Naissance 11 décembre 1810
Meurt 2 mai 1857 (à 46 ans)

Est né à Paris en décembre de 1810 brillant élève du Lycée Henri IV, il commence dès 1824 à écrire des vers. En 1832 la mort de son père affecte douloureusement MUSSET. Obligé de gagner sa vie, il publie un Spectacle dans un fauteuil.

Musset venait de remporter un brillant succès en publiant Rolla, quand il s’enflamma de passion par George Sand (1833). Après un séjour idyllique à Fontainebleau, ils voulurent consacrer leur amour romantique par un voyage en Italie. Mais la désillusion fut prompte.

Derniers Vers 1840
Tristesse

Le sonnet Tristesse a été découvert un matin de l'année 1840 par un ami de Musset, Alfred Tattet, sur la table de chevet du poète, qui avait hâtivement crayonné ces vers sur le papier pendant une insomnie. On ne saurait trouver un témoignage plus direct et plus émouvant sur son âme douloureuse que cette confidence à peine murmurée en une heure d'abattement. Quelques mots très simples désignent les biens que le poète déprimé pense avoir définitivement perdus.

Tristesse
Derniers vers, 1840.
  
J’ai perdu ma force et ma vie
Et mes amis et ma gaieté;
J’ai perdu jusqu’à la fierté
Qui faisait croire à mon génie.

Quand j’ai connu la Vérité
J’ai cru que c’était une amie;
Quand je l’ai comprise et sentie,
J’en étais déjà dégoûté.

Et pourtant elle est immortelle,
Et ceux qui se sont passés d’elle
Ici-bas ont tout ignoré.

Dieu parle, il faut qu’on lui réponde.
-Le seul bien qui  me reste au monde
Est d’avoir quelque fois pleuré.


Analyse du poème

  • Tout d'abord, le poème Tristesse d’Alfred de Musset est en effet un sonnet (2 quatrains et 2 tercets).
  • La tristesse traduit le sentiment de la tristesse.
  • Dans le poème la tristesse fait référence à la solitude et à l'isolement de l'auteur.
  • En effet les anaphores traduisent une insistance.
  • Dans ce poème Musset dit qu'il a perdu sa force, sa gaieté, sa fierté et son génie.


Apresentado e produzido por:
Françoase Brito Farias
Nilzilene Laranjeira dos Santos